Terma 97 : Le Mari De Ma Grande SœUr Chez Nous En Vacances (1)

Je m’appelle Tarik, 19 ans, et je viens il ya quinze jours de réussir à mon bac. J’habite avec mes parents, dans une grande maison juste au bord de la mer, dans une petite ville côtière. Nous avons à cinq cent mètres environ, de longues et belles plages, actuellement, c’est l’été, elles sont envahies par la foule des vacanciers. En plus des hôtels de la ville, beaucoup d’habitants louaient leurs maisons aux vacanciers de l’intérieur du pays. Outre mon père retraité et ma mère femme d’intérieur, j’ai deux grands frères déjà mariés et pères de plusieurs gosses (ils son sept) et habitants ailleurs, mais la plupart des années, ils viennent passer leurs vacances à la maison. J’ai aussi une grande sœur, mariée depuis deux ans et qui n’a pu avoir d’. L’année dernière elle a prit ses vacances chez ses beaux parents mais cette année, elle est enceinte, donc aux soins et suivi de notre mère. Son mari, Mr Kadda, prof de maths pour des terminales dans une autre ville n’aime pas se mélanger avec notre large famille, pourtant à première vue, il semble très sympathique. Alors, de l’autre coté de la maison, juste à l’orée de la grande butée élevée du flan de la grande colline qui avait une belle vue, en bas, sur une partie des plages et de la mer, on lui a arrangé une sorte de studio. On a un garage et à coté un large magasin de pièces et de provisions, alors on a nettoyé et arrangé cet espace en studio avec lit, télé et toilettes et il semble être content d’être loin du tapage et remue ménage de la maisonnée.
Comme à leur habitude, toute la famille s’est arrangé pour planifier leurs repas et leurs sorties, et surtout l’usage de la douche et des toilettes, souvent brefs litiges entre nous. Mr Kadda venait chaque jours, le matin prendre son petit déjeuner, saluer sa belle mère et visiter sa femme, puis il partait seul en ville ou à la plage ou retournait à son studio. Le second jour, je l’ai repéré, avec quelques jeunes gens de mon âge, se baignant bruyamment où étalés et discutant sur le sable.

Il semble être à l’aise avec ces hommes plus jeunes que lui, ça doit lui rappeler ses étudiants. Il plaisantait gaiement avec ces jeunes qui riaient et semblaient être très contents avec lui. J’aurais voulu me joindre à eux mais j’hésite encore. Je l’ai quant même détaillé car il n’était pas mal. Il était en short de bain assez serré, il avait un corps assez athlétique et imberbe et un peu bronzé, une poitrine et des cuisses musclées, une taille fine et des reins serrés. J’ai remarqué aussi que, par devant et à cause du short serré, son paquet sexuel semblait être bien fourni. J’étais étonné qu’à la maison, c’était tout un autre homme, discret, isolé, presque taciturne, ne parlant qu’un mot et rarement. Mais un soir, après diner, je l’ai suivi de loin vers son studio. Comme il était totalement habillé, pour le diner, il m’a reçu tout de suite et m’a fait assoir sur la seule chaise qu’on lui a donné, et lui s’est mit sur son lit. Et on a bavardé, d’abord sur mes études, sur mo bac et sur mon futur scolaire. Il m’a conseillé l’université de sa ville où il pourrait m’aider et sa cité d’étudiants. On a discuté sur le contenu de mes études et ensuite c’est moi qui me suit intéressé à sa vie et pourquoi lui et ma sœur ont attendu deux avant d’avoir un . C’était ma sœur qui décidait sur ce point car lui aurait bien voulu. Puis comme il était détendu et répondait franchement, j’ai osé lui dire que depuis presque une semaine qu’ils sont chez nous, il n’a pas amené sa femme dans son studio pour des relations intimes. Il m’a regardé fixement en silence et comme je ne bronchais pas, il m’a répondu qu’effectivement, il en avait envie depuis la première nuit, mais sa belle mère à mit le holà. Et après quelques, secondes, il a ajouté que cela l’ennuyait vraiment car ce n’était pas son habitude de rester à jeun de sexe trop longtemps. Voyant qu’il me faisait confiance, je lui ai demandé s’il se masturbait pour apaiser sa pression sexuelle. Il a ouvert toute ronde sa bouche et m’a dit que j’étais un jeune homme trop curieux, mais je voyais qu’il souriait.
Et il m’a répondu qu’en effet, hier, grâce aux conseils d’un ami de la plage, il s’est procuré trois revues porno pour s’’exciter rapidement. Et comme je le regardais pour avoir la suite, il s’est tourné vers son oreiller et a sortit une revue qu’il a hésité de me tendre. Je lui ai dis que j’avais l’habitude de voir ce genre depuis le lycée, on n’est plus comme avant, alors il m’a tendu la revue. Dès la couverture, j’ai été choqué, pourtant j’en ai vu et pratiqué des revues porno auparavant et même des textes et récits. Mais c’étaient des revues avec photos de femmes nues ou rarement des hommes baisant des femmes. J’avais déjà vu, mais rarement des queues d’hommes mal positionnées mais surtout des corps de femmes. Dans sa revue, dès la couverture il y avait un homme qui enculait un autre homme et sa queue était à moitié enfouie dans le cul de l’autre, et en gros format. J’ai ouvert et dès le début, il y avait des queues d’hommes, de grosses et longues queues bandées, monstrueuses et des Terma d’hommes. Et ce qui m’a choqué mais aussi captivé, ce sont les positions où une queue pénétrait un cul, où une bouche d’homme suçait la queue d’un autre, où deux hommes s’embrassaient et des photos où un ensembles d’hommes étaient ensemble, certains enculant d’autres, certains assis sur les queues des autres et pas mal d’autres choses. Je suis resté, silencieux, mais mon cœur battait la chamade, je haletais doucement et j’avoue que ma propre queue s’était réveillée et une bosse se manifestait déjà et gonflait mon short. Lui aussi était resté silencieux et quant j’ai osé lever la tête de ces photos ensorcelantes, j’ai constaté qu’il m’observait en souriant. Il était en pantalon, pour le diner, mais j’ai osé descendre mon regard vers son bas ventre et j’ai constaté qu’il avait aussi une grosse bosse qui gonflait sa braguette. Enfin, il me demanda doucement ce que j’en pensais, si j’étais choqué, maintenant que je suis un homme, un adulte et que je pouvais voir et lire tout ce qui concerne les sexes.
J’ai attendu un peu puis j’ai répondu, la gorge un peu rouillée, que je m’attendais à des photos normales de femmes et quelques positions de couples qui baisent, mais là, ce ne sont que des hommes. Il m’a répondu que lui aussi aimait les revues avec femmes et hommes mais son ami de la plage ne lui a procuré que ces revues. Il m’a regardé plus longuement, puis il a répondu à ma place que son ami devait être un homo ou un gay. Peut-être, il lui a donné ce genre pour l’inviter à avoir des relations spéciales avec lui. Il ajouta qu’il avait remarqué que son ami, comme deux autres parmi son groupe, avait un beau derrière bien rond et gonflé et qui aimait se frotter à lui, dans l’eau, il désirait donc être enculé par notre prof. J’ai demandé s’il était d’accord pour le faire et il m’a répondu spontanément que demain, il fera le nécessaire, même aux deux autres. J’ai demandé s’il allait amener l’un d’eux dans son studio et il m’a dit que c’est possible puisqu’il était isolé de la maison et de la famille. Mais pour ce soir, il m’a dit qu’il allait seulement se masturber sur les images. Il m’a reposé la question si j’tais choqué et j’ai osé lui répondre que non et que chacun était libre de chercher son plaisir là où il le trouve. Alors il m’a demandé si moi aussi je me masturbais souvent et, après quelques hésitations, j’ai répondu par l’affirmative.
Alors, et sans hésiter, il s’est déshabillé devant moi et a mit simplement son short de nuit, assez large. J’ai eu ainsi la possibilité de voir sa queue. Elle était formidable surtout qu’il bandait, elle était grosse, large et longue et horizontale et un peu pointa vers le haut. Il m’a dit de me mettre à l’aise en enlevant ma chemise, car j’étais déjà en short et, après une hésitation assez brève, j’ai obéi. Puis il m’a dit de le suivre dehors. On est allé à coté du studio vers la butée, il avait apporté une couverture qu’il a allongée par terre et on s’est assis cote à cote. La bas, en bas de la colline, assez loin quant même ; on voyait certaines des plages, pleines de monde ainsi que dans la mer.
Il a ouvert son short, sortit sa queue, a craché sur sa main et commencé à se masturber. Je restais silencieux, alors il s’est tourné vers moi et m’a dit, en rigolant, de commencer, à moins que j’avais honte de ma queue, alors j’en ai fait autant. Ma queue était nettement plus petite que la sienne, mais je bandais à me faire mal. C’est moi qui a éjaculé le premier. J’étais beaucoup plus choqué et donc excité que lui et dès les premières branles, j’ai ressenti le plaisirs et mes jouissances sont arrivées très vite. Lui, par continuait à se branler parfois doucement et parfois en accélérés. Après une trentaine de vas et viens, il a ressentit son plaisir. Alors il s’est mit sur ses genoux, presque debout, le zeb en avant, en se tendant et accélérant sa branle. Même dans cette obscurité, le tableau était formidable. Je ne voyais que le gros zeb que la main branlait avec rapidité. Il ne touchait pas la grosse tête de la queue et elle dansait et cela m’excitait encore plus. Enfin, ses éjaculations arrivèrent, trois puissants et abondants jets qu’il lançait loin en haut et devant lui. Moi, mes éjaculations n’étaient qu’à quelques centimètres devant moi, mais lui, il a lancé son jus à plus d’un mètre sinon deux, hauts et loin. Puis il a continué à se branler doucement. Il m’a demandé si j’avais déjà gouté une queue d’homme et son sperme et j’ai répondu que sa queue et son sperme étaient les premiers de ma vie. Je n’avais vu que ma queue et mon sperme moyens. Alors il m’a demandé d’essayer car sa queue était encore très chaude et dure. J’allais refuser mais on était seuls et presque dans l’obscurité, alors je me suis avancé vers lui, qui était encore debout et à genoux. J’ai empoigné sa queue et doucement approché ma bouche. Elle était dire, chaude et douce à la fois et vivante. Je l’ai d’abord léché un peu, la tête puis plus bas jusqu’aux couilles. Puis j’ai essayé de l’enfouir dans ma bouche mais sa tête était trop grosse. J’ai écarté au maximum mes lèvres et enfin, j’ai réussir à faire pénétrer la tête. Je l’ai sucé un peu, et c’était grisant, je frissonnais et j’avais envie de la suite, alors je l’ai enfoncée dans ma bouche. C’était difficile mais petit à petit, la queue s’est enfoncée dans ma douche. Quant j’ai vu que je la maitrisais, j’ai reculé ma douche puis j’ai commencé à sucer en y ajoutant ma langue. C’était merveilleux, je sentais ma queue se réveiller de nouveau. J’ai accéléré puis j’ai enfoncé encore plus même si ça me donner envie de vomir. Mais je me suis maitrisé et je suis arrivé à toucher ma gorge à l’intérieur et le début de ses couilles à l’extérieur. Il ne bougeait pas et me laissait faire. Alors j’ai accélérais, j’étais maitre de cette queue, de ce zeb et ça me donnait une excitation formidable. J’ai continué à le sucer et même à le branler de la main et il semblait se durcir encore plus et surtout se gonfler plus. Et à un moment, il m’a dit qu’il allait éjaculer. J’ai décidé de garder la queue dans ma bouche et même d’avaler son sperme si possible. Et il arriva, en abondance, et il risqua presque de m’ mais j’étais prêt à tout et j’ai résisté et j’ai avalé le maximum de son sperme. Et quant son zeb s’est arrêté de sursauter et de vomir son sperme, je l’ai gardé dans ma bouche pour sucer le maximum. Ensuite, sans réfléchir, je ne l’avais jamais fait, je l’ai nettoyé de haut en bas et même le jus sur ses couilles. Puis je me retiré en abandonnant ce gros zeb qui continuait à être bandé, gonflé même. Je me suis allongé le dos sur la couverture, pour souffler un peu et me calmer car mon cœur palpitait encore fortement de désir. Lui aussi s’est allongé à mes cotés, et en silence.
On est resté un long moment ainsi. Enfin, il m’a murmuré que j’avais des prédispositions sexuelles, que je semblais aimer le zeb et son sperme. T après un petit silence, il ajouta si j’avais ressenti d’autres choses. J’ai répondu que j’ai bien aimé sucer sa queue et je me suis même oublié dans le plaisir de la sentir vibrer et éjaculer. Son sperme me semblait salé et plus visqueux que le mien et que mon corps vibrait quant il a éjaculé. Il m’a demandé de bien préciser ce qui a vibré d’autre dans mon corps ou seulement ma queue. J’ai réfléchi et j’ai dit que tout mon corps était à la merci de cette queue. Il m’a dit que la prochaine fois, on verra mieux. On est resté allongé une bonne demi-heure. A un moment, je ne sais pas ce qui m’a prit, mais j’ai avancé ma main vers sa braguette et j’ai sorti sa queue qu’il avait enfouie tout à l’heure. Il m’a laissé faire et j’en avais envie, peut-être parce qu’on était seuls et isolés dans le noir et que les gens étaient loin, la bas sur la plage. Sa queue était molle mais assez longue. Je l’ai manipulée, car son toucher me plaisait. Soudai, elle s’est réveillée et recommençait à bouger, à s’allonger et à grossir, ensuite à durcir de plus en plus. Au bout d’une minute, elle était debout, verticale, dure et gonflée. Elle me plaisait autant quant elle était molle et douce que maintenant, prête aux plaisirs du sexe. Je savais qu’il aimait les homos, donc leurs culs et il m’a voué que demain il allait enculer l’un de ses amis. Et j’ai pensé que je pouvais lui donner, moi aussi, mon cul vierge pour m’ouvrir et me donner du plaisir avec ce formidable zeb, comme vu dans la revue. On pourrait aller dans le studio ou même ici en plein air car on avait toute la nuit pour nous, mais j’hésitais. J’avais une folle envie et je ressentais des choses dans mon cul. J’étais indécis, j’avais aussi peur de passer cette barrière et je restais ainsi à continuer à masturber son zeb, lui ne bougeait pas et ne disait rien. J’ai préféré, pour l’instant l sucer encore une fois et je me suis penché dessus. Allongé maintenant sur le ventre à coté de lui, le branlais doucement et suçait sa queues dure, gonflée. Je savais qu’à la fin j’allais le faire éjaculer. Soudain il posa sa main sur mon dos et me caressa un peu. Encore une fois je ne sais pas ce qui m’a prit, j’ai agité, balancé un peu mon derrière, ma croupe comme on dit. Alors il a descendu sa main sur mes fesses et a appuyé. J’ai gonflé mon derrière désirant une plus grande caresse. Il a accentué sa pression et même appuyé le short pour s’enfoncer entre mes fesses. J’ai écarté mes cuisses et il a suivi en frottant ses doigts dans le sillon et sur mon anus. J’avais envie qu’il m’encule ce soir, il pousse son zeb dans mon cul. Je l’ai entendu murmurer que j’avais une belle Terma bien remplie et certainement profonde et chaude. Il ajouta qu’elle était capable d’engloutir son long zeb en douceur et de la remplir. Et il ajouta, qu’elle doit aimer son sperme autant que ma bouche. J’étais prisonnier de mon désir, nouveau certes, mais tellement puissant qu’il m’affolait et que j’allais tout donner sans hésiter. Mais un bruit, quelque part nous dérangea et j’ai repris conscience. Alors j’ai abandonné son zeb et reprit ma place, assis à coté de lui. Il se redressa aussi et on tendu l’oreille pour ce bruit mais il n’y a rien eu. Peut-être un animal ou notre imagination, mais cela a suffit pour briser l’enchantement. Alors, il m’a dit qu’il était temps que je retourne à la maison et je me suis levé. Il avait remis sa queue dans son short et la mienne aussi s’étaient calmées. Il m’a proposé de prendre une des revues porno avec moi, mais j’ai refusé, je voulais la voir qu’ici et avec lui, demain soir peut-être.
Puis je suis parti le laissant, dans l’obscurité, admirant les plages de loin. Cette nuit, j’ai mis longtemps à m’endormir, dans mon lit où j’ai revu et pensé à ce que j’ai fait ce soir avec notre gendre, avec sa revue porno, avec sa queue, sa grosse queue que j’ai sucée, avec ses caresses poussées sur mes fesses et mes envies de me laisser dépuceler du cul. Tout à l’heure, j’avais réussi à prendre une douche, et j’ai observé au grand miroir, mes fesses, ma Terma comme il a dit, et je me suis frotté le sillon et caressé l’anus et j’ai même essayé d’enfoncer un de mes doigts, mais je n’ai pas réussi. Pourtant je savais qu’il s’ouvrait toujours très bien quant je fais mes besoins, donc, le zeb de notre gendre n’aura aucune difficulté à m’ouvrir et à me niquer, car je dois me l’avouer, j’en avais grande envie. Je ne sais pas encore ce ça va me donner comme plaisir mais j’ai confiance. Ce que j’ai vu dans la revue, ces gros zeb et ces Terma offertes et pénétrées, m’encourageait à essayer d’offrir la mienne et ce sera pour demain soir si tout va bien.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!